Dans les coins de Bastia, là où j’habite, il fait chaud. Mais quand je commence à m’exciter à l’idée de me prendre une bite, là, autour de moi, la température grimpe de dix degrés. J’ai instantanément le feu au cul.
C’est comme ça les beurettes dans mon genre, ça démarre au quart de tour et ça démarre fort. Pour nous arrêter, bonne chance.
D’ailleurs, c’est pas de la chance que je suggère à celui qui viendra me tamponner, ce serait plutôt d’être vigoureux et bien préparé. Qu’il sache se saisir de moi et me dominer. Pas de la domination au sens S&M, mais de la domination naturelle d’un mâle sur sa femelle.
Ouais, je suis assez archaïque, vieille école dans mon genre. Mais ça me plaît bien.
Ceci étant dit, qui serait disposé, à Bastia, à se taper une beurette d’une quarantaine d’année. Je préviens, j’en prends qu’un seul à la fois. J’attends vos messages.