Marseillais, levez-vous. Mettez-vous au garde-à-vous. Je parle surtout à votre engin. Qu’il commence à se dresser et se tenir prêt parce que bientôt, il va fourrer une maghrébine tout prête à l’accueillir pour l’envelopper dans la chaleur de chacun de ses orifices.
Toutefois, même si je suis bien partie comme une chaudasse, je préfère quand même faire les choses en douceur. Les beurettes aussi aiment qu’on se montre tendres avec elles, faut pas croire. Et j’ai hâte d’être le recueil de toutes vos tendresses passionnelles.
Tout ce que je demande, c’est de l’amour, mais pour une nuit seulement, le temps d’un plan cul qui, je l’espère, me calmera mes ardeurs. C’est que je suis à cran à force de n’avoir personne donc, il faut bien que je trouve un moyen de décompresser. Peut-être qu’en manipulant les bons pistons….
Venez donc me tendre une main et un chibre secourable que mon corps puisse enfin se régaler de la chaleur d’un homme.